Les expositions 21/22

EXPOSITIONS :
L’ ART DANS TOUS SES ÉTATS !

Le Théâtre Toursky est un lieu de vie artistique où les arts sont partout présents, et sous toutes leurs formes. Tout au long de la Saison, découvrez le travail d’artistes contemporains…

Johanna HEEG – Peinture

La peinture de Johanna Heeg est une perpétuelle chasse aux fantômes qui peuplent sa vie, un défi au temps, son plus fidèle complice, qui la mène de la naissance à la mort, de la vie joyeuse à l’innocence et aux plénitudes de l’enfance, de la gourmandise espiègle à la mélancolie.


 

Johann Pollak – Peinture hommage

Hommage à Johann Pollak dans le cadre de quelques-unes de ses œuvres choisies sur plus d’un demi-siècle de productions artistiques, peintures, dessins, gravures, sculptures, l’occasion de porter un regard sur une quête empreinte d’un réalisme expressionniste.

 


Marjolaine HEEG – Photographie

Marjolaine Heeg effeuille la mélancolie et la rumeur de ses tourments, ce qu’elle croit, ce qu’elle ressent, ce qu’elle perçoit des images et des mirages issus du réel qui l’entoure. Chaque trace du passé qui la traverse ravive les multiples nuances d’un appel à conjurer l’absence d’un visage, le désarroi d’un objet abandonné, l’endroit et la forme où sourd le mystère de la vie. Elle nous dit ainsi que tout est fragile, voué à l’usure, à l’effacement et que rien ne nous est jamais acquis.

 


Claude LANGLOIS – Peinture

Coloriste et acrobate-poète des multiples états de la forme et de la lumière, prestidigitateur de l’inattendu, Claude Langlois nous entraîne à travers ses lambeaux d’espérance d’où surgissent des errances de bateaux en naufrage. Au seuil de cet effroi contenu dans l’exil de la souffrance, il nous adresse des bouts de messages jetés à la mer, comme autant de cris invisibles lancés par ces visages sans nom et sans lendemain. C’est la fresque grinçante d’une tragédie qui se dresse devant nous. Il y a dans le travail de cet artiste humaniste l’approche d’un carnaval baroque et grotesque avec, toujours en filigrane, un attrait incisif pour l’inexplicable.

 


 

Monique CELLIERE – Peinture

Quand elle entre dans son atelier, Monique Cellière caresse du regard la surface de la toile vierge qui se dresse devant elle. Des espaces se révèlent. Elle pose la toile au sol ; les couleurs arrivent, l’idée apparaît peu à peu : un dialogue s’instaure. Des formes, nées inconsciemment de la main de l’artiste, l’interpellent, parfois la rebutent mais la conduisent toujours à pénétrer dans la matière picturale. Une exigence qui se transforme en plaisir.

 

Commissariat d’exposition :
Jean-Pierre Cramoisan